Né le 15 mars 1958 à Bonneville, où il sera scolarisé de la maternelle au lycée, Patrick-Alain Bertoni est diplômé de l’Institut pratique de journalisme de Paris, promotion 1979. La carte de presse lui a été attribuée le 1er juillet 1981. Après le Service national accompli à l’École de l’air/École militaire de l’air à Salon-de-Provence, il baladera sa plume du quotidien « Le Progrès » (Lyon) à l’hebdomadaire « Le Faucigny » (Bonneville) en passant par le quotidien « La Voix du Nord » (Lille) et l’hebdomadaire « L’Essor savoyard » (Annecy, Chambéry). Ses rubriques de prédilection : la chronique judiciaire et l’Histoire. En décembre 2018, il a fondé à Ayze le trimestriel « HistoireS de SavoiE », sous-titré « Magazine d’actualités d’hier et d’aujourd’hui » ; il en dirige la publication et la rédaction. Lui qui dit sans plaisanter avoir « voulu devenir journaliste en lisant Tintin, surtout ‘‘Tintin en Amérique’’, ‘‘Le Lotus bleu’’, ‘‘Tintin au pays de l’or noir’’ et ‘‘L’Affaire Tournesol’’ », a balbutié dans la profession alors qu’il était encore potache à Bonneville : correspondant au quotidien « Le Dauphiné libéré » (Grenoble) et rédacteur pour le journal du tiers-temps pédagogique au Lycée Guillaume-Fichet, intitulé « La Sangsue végétarienne ».

Le trimestriel « HistoireS de SavoiE », diffusé chez les marchands de journaux des départements de la Savoie et de la Haute-Savoie ainsi que par abonnement, ne traite pas uniquement de l’histoire de la Savoie. Il évoque également des histoires qui se passent de nos jours en Savoie et dans la Vallée d’Aoste, une terre ancestrale de francophonie mitoyenne des Pays de Savoie par la géographie et par l’histoire. D’où le « S » d’« HistoireS » et le sous-titre « Magazine d’actualités d’hier et d’aujourd’hui ». Chaque numéro comporte 100 pages. Les articles, très documentés, sont écrits de la meilleure plume possible et illustrés de documents parfois inédits. Les numéros sont datés de mars, juin, septembre et décembre. Slogan du journal : « Un magazine d’ici par des gens d’ici pour les gens d’ici et de partout ailleurs ». Ligne de conduite : raconter, ne jamais interpréter, ni approuver ou blâmer.