Le Fauteuil Rouge
Spectacles vivants humoristiques et conviviaux pour partager rires et culture locale.
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13 € la place au lieu de 15 €
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21 chemin pose perret - L'auberge ensoleillée
74250
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Humour et Dépendances – “Le Fauteuil Rouge”
Quand la passion du théâtre devient moteur de rencontres et de rires partagés
Derrière chaque éclat de rire, il y a souvent une belle histoire humaine.
Celle de Jean-Yves Morelle, fondateur de l’association Humour et Dépendances et de son nom commercial “Le Fauteuil Rouge”, en est une preuve vivante.
1. L’homme derrière la scène : entretien avec Jean-Yves Morelle
Lyonnais d’origine, Jean-Yves Morelle aime raconter, avec une pointe d’autodérision, que ses études l’ont davantage poursuivi qu’il ne les a suivies. « J’étais un élève rêveur, souvent en “école buissonnière”. » C’est grâce à une professeure de français passionnée qu’il découvre le théâtre à seize ans : une révélation. Entouré de ses “potes et potesses”, il monte sur scène pour la première fois, et ne la quittera jamais vraiment.
Son père, comme beaucoup de parents, le voyait bien notaire ou engagé dans des études sérieuses. Mais Jean-Yves, lui, n’avait qu’une passion : la culture, la scène, la rencontre avec le public.
Après un passage qui se voulait être dans la gendarmerie pour l'armée, il se retrouve en Allemagne et revient en France à dix-neuf ans. Une opportunité l’amène à travailler dans le commerce d’étiqueteuses, puis à voyager comme chauffeur d’autocar. Marié à vingt-sept ans, père de deux fils, il mène une vie bien remplie.
Mais à la cinquantaine, la fameuse “crise” devient un retour aux sources :
« J’avais envie de revenir à mes premières amours : le théâtre. »
La rencontre d’un ami membre d’une troupe amateur sera décisive. Pendant quinze ans, Jean-Yves joue, met en scène et s’épanouit dans les classiques : Molière, Shakespeare, Feydeau…
De là naît l’envie de créer sa propre structure, un espace où la passion et l’humour se mêlent à la convivialité :
L’association “Humour et Dépendances”.
Très vite, il développe un réseau de spectacles, une activité de diffusion et de production, et devient une sorte “d’agent culturel du rire”. Son énergie et son enthousiasme ouvrent des portes.
C'est lors d'une soirée magique dans Lyon que notre Gone rencontre sa Fenotte Stéphanie qui deviendra sa muse !
Arrivé en Haute savoie, Jean-Yves y trouve un nouveau souffle. Il y rejoint Stéphanie, sa nouvelle compagne, une femme de cœur engagée dans la protection de l’enfance, et ensemble au pied du Môle commence cette belle aventure culturelle et d'amour.
Aujourd’hui, entouré d’une équipe soudée – notamment Barbara et Yvan, leurs “deux Helvètes préférés” –, Jean-Yves fait vivre sa passion à travers des spectacles humoristiques, de magie, de chanson française, et bien d’autres à venir selon les envies du public.
2. Une aventure humaine et culturelle locale
Les rires de nos campagnes :.
Depuis plus de vingt ans, Jean-Yves Morelle vit pour le théâtre : comédien, metteur en scène, chargé de production et de diffusion, il a tout fait – bénévolement, par amour du spectacle vivant.
Avec Humour et Dépendances, il installe aujourd’hui ses spectacles dans notre vallée, refusant de lever le rideau sur une retraite paisible. Entre passion, entraide et bonne humeur, l’association tisse sa toile à hauteur d’humains.
Le projet repose sur de belles complicités locales :
Grâce à ces partenariats, chaque mois voit revenir rire, magie et comédie dans nos villages. L’occasion de partager un moment convivial, près de chez soi, tout en soutenant une initiative locale fondée sur la passion et la générosité.
3. Faire vivre la culture au cœur des villages
À l’heure où les spectacles de stand-up et les soirées culturelles se multiplient en ville, Humour et Dépendances mise sur une idée simple : amener la culture à la campagne.
Chaque mois, deux lieux accueillent les représentations :
« Nous voulons faire sortir les gens de la morosité ambiante, recréer du lien à travers le rire et la convivialité. »
Avec des spectacles variés et un public fidèle, “Humour et Dépendances” démontre qu’il suffit d’un peu de passion, de solidarité et d’audace pour rallumer la flamme du spectacle vivant, même loin des grandes scènes.
